Laurens Vanthoor occupe son emploi de rêve. À 23 ans, il est pilote de course professionnel. Il pilote pour Audi et compétitionne au niveau international.
Comme la plupart des pilotes, il a débuté par le karting. À partir de 12 ans, il a progressé graduellement en passant des courses régionales vers les courses nationales pour atteindre les compétitions internationales avant de rejoindre les rangs de la Formule 3. Il participe principalement à des courses de catégorie GT derrière le volant d’une Audi R8.
Comme pour tous les autres sports, l’entraînement est indispensable à la réussite. Mais comme le mentionne Laurens Vanthoor, l’entraînement est plus difficile pour les pilotes professionnels.
« Ce n’est pas comme au football où vous pouvez passer toute une journée à vous entraîner », explique-t-il. « Une journée d’entraînement sérieux avec Audi peut coûter jusqu’à 30 000 $ ».
Les pilotes doivent aussi se préparer mentalement et émotionnellement pour tout défi qu’ils devront potentiellement affronter durant la course.
Pour lui permettre de s’entraîner pendant de longues heures à faible coût et se donner un avantage concurrentiel, Laurens Vanthoor a commencé à utiliser un simulateur de base en 2014. En 2014, il est passé à un simulateur propulsé par D-BOX qu’il utilise quatre fois par semaine, affirme-t-il, et qui lui a permis de passer à un niveau supérieur.
« Les personnes qui le comparent à un jeu vidéo ne savent pas de quoi elles parlent. Après un entraînement de quelques semaines sur mon simulateur Vesaro, je suis allé chez un ami et nous avons joué à un jeu vidéo de course. J’étais épaté de voir la différence. Ça n’a rien à voir avec les autres ».
– Laurens Vanthoor, pilote d’Audi F3
« C’était comme le vélo de montagne, mais en utilisant un vélo de ville vieux de dix ans », explique-t-il. « Une fois habitué à votre équipement, vous ressentez vraiment la différence quand vous utilisez autre chose ».
Avant d’adopter les systèmes de mouvement D-BOX pour une partie de son entraînement, Laurens Vanthoor admet qu’il était sceptique. Toutefois, il est devenu un adepte dès la première utilisation pour faire le test d’une piste sur laquelle il n’avait jamais piloté.
« Quand je me suis rendu sur la piste par la suite, j’ai été réellement surpris de constater la précision. Tout me semblait tellement familier. La rétroaction des systèmes de mouvement D-BOX était incroyablement réaliste ».
Non seulement le simulateur a aidé à mieux préparer Laurens Vanthoor pour la course, mais il a aussi réduit les coûts d’un entraînement efficace.
Laurens Vanthoor utilise maintenant un simulateur Vesaro propulsé par D-BOX pour une partie de son programme régulier d’entraînement. La popularité des simulateurs commence à croître dans le monde de la course, mais selon Laurens Vanthoor, les simulateurs qui n’ont pas les signaux de mouvement ne sont que des jouets. Un vrai simulateur, affirme-t-il, requiert le logiciel et la rétroaction appropriés.
Dorénavant, Laurens Vanthoor prévoit intégrer son simulateur dans son entraînement d’endurance. « Vous devez habituer votre corps aux conditions, mais aussi exercer votre cerveau », explique-t-il. « Vous pouvez être le meilleur pilote, mais si vous n’êtes pas préparé mentalement, vous ne serez pas prêt à réagir devant les obstacles et défis imprévus ».
Et, semble-t-il, c’est ce qui fait un champion coureur automobile.
« Je détiens encore le record de tour de tous les temps sur la piste de Bathurst, pour lequel je m’étais entraîné sur mon simulateur Vesaro. C’est peut-être une coïncidence, mais j’en doute ».
– Laurens Vanthoor, pilote d’Audi F3