ECCO Cine Supply a démarré à partir de rien et transporte maintenant les cinéphiles dans toute l’Europe.
CONTEXTE : DANS L’INDUSTRIE DU CINÉMA DEPUIS LONGTEMPS
Avant ECCO Cine Supply, il y avait Thomas Rüttgers, qui venait de vendre l’entreprise familiale de cinéma.
Lui qui s’est joint dans les années 80 à l’entreprise familiale créée au début des années 60, il a plus de 35 ans d’expérience dans le secteur du cinéma. Il s’est finalement occupé des projections numériques et a continué d’assurer la croissance de l’entreprise familiale, étendant sa présence dans les pays voisins de l’Allemagne, notamment en Pologne, jusqu’à ce qu’elle devienne la principale entreprise d’intégration européenne.
Cette expérience lui a permis d’acquérir des connaissances sur le secteur, qui ont fini par jouer un rôle essentiel dans le changement d’image de l’entreprise après sa vente en 2012.
DÉFI : LIMITÉ PAR UNE CLAUSE STRICTE DE NON-CONCURRENCE
Sachant que sa carrière ne s’arrêterait pas avec la vente de l’entreprise, M. Rüttgers a trouvé bien difficile la clause stricte de non-concurrence de 30 mois associée à la vente.
Extrêmement limité par ce qu’il pouvait faire, il savait grâce à ses décennies d’expérience qu’il devait trouver une technologie novatrice qui ne ferait pas qu’attirer les cinéphiles dans les cinémas. Elle devait aussi être inédite et avoir le potentiel de fidéliser les clients, en plus d’être durable pour demeurer pertinente au fil des ans.
De plus, il n’a pu créer sa propre entreprise pendant la durée de la clause de non-concurrence, ce qui a limité encore davantage ses possibilités de poursuivre sa brillante carrière.
SOLUTION : EXPOSITION ET CONSULTATION POUR LES SIÈGES À MOUVEMENT IMMERSIFS DE D-BOX
Après avoir découvert les sièges de cinéma haptiques haute fidélité de D-BOX à Los Angeles, puis au CinemaCon, M. Rüttgers a su qu’il tenait la solution. Il s’est rendu à Montréal pour rencontrer le fondateur de D-BOX, Claude McMaster, alors chef de la direction, et est devenu conseiller européen pour l’entreprise le temps que sa clause de non-concurrence vienne à échéance. Lorsque ce fut le cas, il s’est relancé en affaires sous le nom d’ECCO et a créé une expansion massive de D-BOX dans les territoires germanophones.
Bien qu’il admette qu’au début, il était plus difficile de vendre le concept en raison du manque de contenu, il croyait en ce que D-BOX faisait, à un point tel qu’il investissait lui-même pour les exploitants de salles de cinéma, leur donnant la possibilité de racheter les sièges plus tard lorsque les clients les adoptaient, ce qui était souvent le cas.
RÉSULTATS : UNE DEUXIÈME ENTREPRISE FAMILIALE PROSPÈRE DONT LA CROISSANCE EST ASSURÉE PAR D-BOX
Même après toutes ces années, la technologie haptique de D-BOX continue de porter ses fruits pour M. Rüttgers et ECCO.
Dès qu’il l’a fait adopter par ses clients, il n’a eu que des commentaires positifs. Il affirme que la technologie est fiable, robuste et solide et que, dans certains cas, les systèmes qu’il a vendus il y a plus de 12 ans sont encore entièrement fonctionnels!
Aujourd’hui, ECCO a vendu quelques cinémas VIP D-BOX complets et compte environ 170 écrans dotés de plusieurs rangées de sièges à mouvement haptique. Ce nombre augmente au rythme régulier de 10 à 20 écrans par année, certains se trouvant désormais au Royaume-Uni, en Turquie, en Égypte, en Autriche, en Norvège et en Afrique du Sud, entre autres.
Le partenariat entre ECCO et D-BOX est un partenariat qui a résisté à l’épreuve du temps pour les deux sociétés, et D-BOX est fière de compter sur ECCO à titre de fournisseur européen officiel de travaux de maintenance et d’entretien de D-BOX. Selon M. Rüttgers, la relation a toujours été mutuellement bénéfique pour les deux entreprises, car elles aiment apprendre l’une de l’autre et croître ensemble.
ECCO et D-BOX prennent le temps de se voir au moins deux fois par année en dehors des congrès, ce qui leur permet de rester engagés et sur la même longueur d’onde quant à la manière de plonger davantage les cinéphiles dans leurs films préférés.
Ce partenariat a duré si longtemps que la boucle est presque bouclée : en effet, l’un des deux fils de M. Rüttgers l’a rejoint dans cette entreprise désormais familiale.